Women in Law and Development in Africa (Femmes, Droit et Développement en Afrique) est un vaste réseau panafricain d’organisations non gouvernementales de droits des femmes Lire la suite...
Historique
Les origines du Women in Law and Development in Africa/Femmes, Droit et Développement en Afrique remontent au Forum des ONG à Naïrobi au Kenya en 1985 pour marquer la fin de la décennie des Nations Unies pour les femmes. Lire la suite...
L’adhésion au WILDAF est flexible et ouverte : aux personnes physiques de toute profession impliquées ou s’intéressant à la promotion des droits de la femme ; aux organisations non gouvernementales et institutions oeuvrant dans les domaines Lire la suite...
Le Conseil d’Administration sont composés de 07 (sept) membres au total ; toutefois, l’Assemblée Générale a le pouvoir d’augmenter le nombre.Lire la suite
Des formations de qualité organisées pour former les acteurs du domaine sur des sujets clés et leur permettre de disposer des derniers outils pour une meilleure gouvernance.Lire plus
Lobbing & Plaidoyer
Le WiLDAF/FeDDAF en Afrique de l’Ouest comme au niveau régional maintient une présence institutionnelle aux sessions des principales institutions sous régionales. Lire plus
Campagne
Nous menons des campagnes sur tous les territoires avec des thématiques diverses pour accompagner et sensibiliser la population. Lire plus
Réseautage & communication
Le WiLDAF/FeDDAF-AO travaille en réseau sous diverses formes : Echange d’informations sur une base régulière avec les membres du réseau sur les événements en Afrique et à travers le monde. Lire plus
Sensibilisation et renforcement de capacite des acteurs judiciaires et extrajudiciaires de 2002 à 2004
Projet : « Sensibilisation et renforcement de capacite des acteurs judiciaires et extrajudiciaires pour la mise en œuvre effective des droits des femmes en Afrique de l’Ouest »
Partenaire financier : l’Union Européenne
Coût total : 853 610,88 Euros
Durée : 32 mois.
Pays : Benin, Burkina- Faso, Ghana, Mali, Nigeria, Sénégal, Togo.
Objectifs : Contribuer à l’amélioration de l’effectivité des droits des femmes dans 7 pays d’Afrique de l’Ouest en renforçant les capacités d’une masse critique de magistrats, avocats, policiers, médecins, autorités traditionnelles et autorités religieuses en vue d’une meilleure prise en compte des droits des femmes.
Résultats:
Au total 4495 magistrats, avocats, chefs traditionnels et religieux, médecins, officiers de police judiciaire de la sous-région, ont été sensibilisés et formés pour contribuer à l’amélioration de l’effectivité de ces droits.
Disponibilité de divers outils adaptés à la sensibilisation et à la formation des magistrats, avocats, agents de police, médecins, autorités traditionnelles et religieuses pour une meilleure prise en compte des droits des femmes dans le cadre de leur travail.
583 magistrats, avocats et agents de police sensibles aux questions de genre et aux difficultés des femmes à jouir de leurs droits ont été formés et outillés pour appliquer les dispositions légales en matière des droits des femmes lors des règlements de conflits dans les 7 pays concernés par le projet.
185 médecins sont mieux formés et outillés pour accueillir les femmes en détresse et mieux identifier les violations qui sont portées à leur connaissance.
189 autorités traditionnelles religieuses sont mieux disposées à promouvoir le respect des droits des femmes en conformité avec les textes nationaux et les principes internationaux.
4490 magistrats, avocats, agents de police, médecins, autorités traditionnelles et religieuses ont reçus les outils de sensibilisation ou de formation par l’intermédiaire de leurs pairs ayant participé aux journées de sensibilisation ou aux ateliers de formation.
7 pays du projet ont initié des actions en direction des écoles de formation des groupes cibles pour l’intégration des modules élaborés dans le cadre du projet dans les curricula de formation initial et continue des groupes cibles. Des accords de principe ont été obtenus et des conférences sur les droits des femmes et le genre ont démarré à l’attention des élèves en formation de ces institutions, futurs agents appelés à prendre fonction.