Women in Law and Development in Africa (Femmes, Droit et Développement en Afrique) est un vaste réseau panafricain d’organisations non gouvernementales de droits des femmes Lire la suite...
Historique
Les origines du Women in Law and Development in Africa/Femmes, Droit et Développement en Afrique remontent au Forum des ONG à Naïrobi au Kenya en 1985 pour marquer la fin de la décennie des Nations Unies pour les femmes. Lire la suite...
L’adhésion au WILDAF est flexible et ouverte : aux personnes physiques de toute profession impliquées ou s’intéressant à la promotion des droits de la femme ; aux organisations non gouvernementales et institutions oeuvrant dans les domaines Lire la suite...
Le Conseil d’Administration sont composés de 07 (sept) membres au total ; toutefois, l’Assemblée Générale a le pouvoir d’augmenter le nombre.Lire la suite
Des formations de qualité organisées pour former les acteurs du domaine sur des sujets clés et leur permettre de disposer des derniers outils pour une meilleure gouvernance.Lire plus
Lobbing & Plaidoyer
Le WiLDAF/FeDDAF en Afrique de l’Ouest comme au niveau régional maintient une présence institutionnelle aux sessions des principales institutions sous régionales. Lire plus
Campagne
Nous menons des campagnes sur tous les territoires avec des thématiques diverses pour accompagner et sensibiliser la population. Lire plus
Réseautage & communication
Le WiLDAF/FeDDAF-AO travaille en réseau sous diverses formes : Echange d’informations sur une base régulière avec les membres du réseau sur les événements en Afrique et à travers le monde. Lire plus
Améliorer la capacite des jeunes filles engagées pour l’éradication des mariages d’enfants en Afrique de l’ouest de 2018-2020
Projet : « Améliorer la capacité des jeunes filles engagées pour l’éradication des mariages d’enfants en Afrique de l’ouest »
Partenaire financier : Fonds Africain pour le Développement de la Femme (AWDF)
Coût total :
548 000 $
Durée : 2ans
Pays : Mali. Togo
Objectif : renforcer et organiser les jeunes filles activistes, à mobiliser d’autres acteurs stratégiques en vue de leur contribution à l’éradication du mariage d’enfants dans deux (2) pays d’Afrique de l’Ouest.
Résultats
60 filles Renforcées au cœur de l’action du projet
97,9% des filles formées ont renforcé leurs compétences et connaissances en droit pour une cible initiale de 90% ;
95,8 % des filles formées ont acquis de nouvelles connaissances en santé de la reproduction pour une cible initiale de 90% ;
95,8% des filles formées ont entrepris des actions en vue de l’éradication des ME pour une cible initiale de 90%.
65% des chefs traditionnels et religieux mobilisés ont posé des actes en vue d’un changement de coutumes et de l’arrêt du ME dans leur localité pour une cible initiale de 60% : abandon quatre (4) coutumes identifiées (deux normes traditionnelles par pays), par les filles et les communautés comme favorable à la pratique du mariage des enfants au Mali et au Togo, sanctionnés par la signature de déclaration à Tamongue, Lama-Tessi et Kayes
24 filles dont les droits ont été abusés ont eu recours à des services d’assistance multiformes dont elles ont besoin sur référencement des filles leaders ;
12 groupes de filles leaders sont opérationnels pour une cible de 12, soit 100% ;
9 dénonciations des mariages d’enfants par les filles ont été enregistrés pendant la durée du projet ;
32 actions entreprises par les communautés elles-mêmes pour dénoncer les mariages d’enfants ;
12 filles vulnérables et ou victimes de mariage d’enfants assistées.
Des campagnes de sensibilisation communautaires, médiatiques et digitales sur le mariage d’enfants et la COVID-19
Elaboration de plan d’action
Implantation de pancartes dans localité couverts par le projet pour sensibiliser contre le mariage d’enfants