Women in Law and Development in Africa (Femmes, Droit et Développement en Afrique) est un vaste réseau panafricain d’organisations non gouvernementales de droits des femmes Lire la suite...
Historique
Les origines du Women in Law and Development in Africa/Femmes, Droit et Développement en Afrique remontent au Forum des ONG à Naïrobi au Kenya en 1985 pour marquer la fin de la décennie des Nations Unies pour les femmes. Lire la suite...
L’adhésion au WILDAF est flexible et ouverte : aux personnes physiques de toute profession impliquées ou s’intéressant à la promotion des droits de la femme ; aux organisations non gouvernementales et institutions oeuvrant dans les domaines Lire la suite...
Le Conseil d’Administration sont composés de 07 (sept) membres au total ; toutefois, l’Assemblée Générale a le pouvoir d’augmenter le nombre.Lire la suite
Des formations de qualité organisées pour former les acteurs du domaine sur des sujets clés et leur permettre de disposer des derniers outils pour une meilleure gouvernance.Lire plus
Lobbing & Plaidoyer
Le WiLDAF/FeDDAF en Afrique de l’Ouest comme au niveau régional maintient une présence institutionnelle aux sessions des principales institutions sous régionales. Lire plus
Campagne
Nous menons des campagnes sur tous les territoires avec des thématiques diverses pour accompagner et sensibiliser la population. Lire plus
Réseautage & communication
Le WiLDAF/FeDDAF-AO travaille en réseau sous diverses formes : Echange d’informations sur une base régulière avec les membres du réseau sur les événements en Afrique et à travers le monde. Lire plus
Objectif: Contribuer à la réduction de la pauvreté en soutenant les femmes rurales à s’organiser et agir en vue de bénéficier de leurs droits économiques, sociaux et politiques sur une même base que les hommes.
Résultats :
154 sur 160 agricultrices parajuristes formées sont actives en fin 2014.
Une étude sur l’accès à la terre
210 chefs traditionnels agissent et parlent en faveur des droits des femmes dans leurs communautés ;
4292 séances et campagnes de sensibilisations et d’éducation juridique populaire et l’assistance juridique réalisées auprès de 77 communautés du projet et des villages voisins ont permis d’atteindre 208 437 personnes dont 120 070 femmes et 81779 hommes
526 chefs traditionnels ont pris la parole et agi en faveur des droits des femmes ou ont œuvré à l’amélioration des coutumes ou des pratiques traditionnelles dans les cinq (5) pays,
Changements dans 16 pratiques considérées comme nuisibles et empêchait les femmes de jouir de leurs droits.
77 des comités communautaires de lutte contre les violences faites aux femmes Mise en place
149 dirigeants (hommes et femmes) d’organisations d’agriculteurs formés ont été sensibilisés aux droits des femmes
12.383 femmes ont eu accès à la terre, au crédit, à la technologie et à d’autres ressources pour la production dans les cinq (5) pays du projet :
2260 femmes ont accès à la terre ;
4453 femmes ont accès au crédit ;
2825 femmes ont accès à des intrants ;
2845 femmes ont accès à la technologie.
Mise en place d’un système de crédit foncier et de crédit d’épargne à taux d’intérêt réduit, visant à favoriser l’accès des femmes à la propriété foncière
Au Togo, 48 femmes ont accédé à des postes de décision dans les villages couverts
Deux des 12 femmes positionnées sur les listes de partis politiques et qui ont participé aux élections locales et municipales en juin 2015, ont été élues au Benin
821 femmes rurales ont accru leur capacité et connaissance en matière de sécurité alimentaire et sont maintenant actives dans les instances de prise de décision, de plaidoyer en vue de l’amélioration des conditions de vie ;
4.881 femmes dont les capacités ont été renforcées en matière d’accès aux ressources de productions, font bon usage de ces nouvelles acquisitions ;
Plus de 2.725 personnes ont obtenu un rendement impressionnant grâce aux nouvelles technologies.
90 coopératives ont été créées en conformité avec le 9ème Acte Uniforme de l’OHADA sur les coopératives au Benin, au Burkina Faso et au Togo .