WILDAF-AO

Dans sa quête de mettre en place des réseaux suffisamment forts pour contribuer à la mise en œuvre des droits humains des femmes, le WiLDAF s’est investi depuis sa création à mobiliser les organisations de femmes dans la sous-région et à renforcer leur capacité pour mettre en place des réseaux capable de travailler conjointement, à partager des informations et à prendre avantage du travail en réseau pour se constituer en groupes de pression et de plaidoyer capables d’obtenir des réformes susceptibles d’améliorer le statut des femmes. Aussi veille-t-il au renforcement organisationnel et à la capacité opérationnelle des onze réseaux nationaux existants.  

Par le biais de projet tels :

  • « S’organiser pour mieux défendre les droits de la femme »

Partenaire financier : WiLDAF régional

Pays : Burkina-Faso, en côte d’ivoire, au Mali, au Sénégal, au Cameroun, au Ghana, au Togo, au Nigeria

Objectifs : Mobiliser les organisations de femmes dans la sous-région et renforcer leur capacité pour leur formalisation  

Résultats

  • Formalisation des réseaux nationaux au Benin, au Burkina-Faso, en côte d’ivoire, au Mali, au Sénégal, au Cameroun, au Ghana, au Togo, au Nigeria, et
  • Projet : « Au-delà de Beijing : Renforcement de capacité des réseaux nationaux de droits des femmes pour contribuer à la mise en œuvre des droits humains des femmes. »

Partenaire financier : Union Européenne

Pays : Benin, Burkina-Faso, Cameroun, Ghana, Cote- d’Ivoire, Mali, Nigeria, Sénégal, Togo

Objectifs : Renforcer la capacité des organisations de femmes dans la sous-région à réaliser des programmes visant à élever la conscience juridique des femmes ;

  • Renforcer la capacité des réseaux nationaux à travailler conjointement, à partager des informations et à prendre avantage du travail en réseau pour se constituer en groupes de pression et de plaidoyer capables d’obtenir des réformes susceptibles d’améliorer le statut des femmes.

Résultats

  • L’éveil de la conscience juridique des femmes sur tous les plans (social, économique et culturel) en vue d’une meilleure application des textes.
  • La constitution des femmes en groupes de pression et de plaidoyer suffisamment forts pour faire adopter des lois améliorant leur situation.
  • La capacité de 9 réseaux nationaux à identifier les priorités des femmes de leurs pays, à élaborer des programmes adéquats, à rechercher des financements et enfin à mettre en œuvre des programmes.
  • L’existence d’un groupe de 180 formateurs capables de transmettre à d’autres membres les connaissances et habiletés acquises.