Women in Law and Development in Africa (Femmes, Droit et Développement en Afrique) est un vaste réseau panafricain d’organisations non gouvernementales de droits des femmes Lire la suite...
Historique
Les origines du Women in Law and Development in Africa/Femmes, Droit et Développement en Afrique remontent au Forum des ONG à Naïrobi au Kenya en 1985 pour marquer la fin de la décennie des Nations Unies pour les femmes. Lire la suite...
L’adhésion au WILDAF est flexible et ouverte : aux personnes physiques de toute profession impliquées ou s’intéressant à la promotion des droits de la femme ; aux organisations non gouvernementales et institutions oeuvrant dans les domaines Lire la suite...
Le Conseil d’Administration sont composés de 07 (sept) membres au total ; toutefois, l’Assemblée Générale a le pouvoir d’augmenter le nombre.Lire la suite
Des formations de qualité organisées pour former les acteurs du domaine sur des sujets clés et leur permettre de disposer des derniers outils pour une meilleure gouvernance.Lire plus
Lobbing & Plaidoyer
Le WiLDAF/FeDDAF en Afrique de l’Ouest comme au niveau régional maintient une présence institutionnelle aux sessions des principales institutions sous régionales. Lire plus
Campagne
Nous menons des campagnes sur tous les territoires avec des thématiques diverses pour accompagner et sensibiliser la population. Lire plus
Réseautage & communication
Le WiLDAF/FeDDAF-AO travaille en réseau sous diverses formes : Echange d’informations sur une base régulière avec les membres du réseau sur les événements en Afrique et à travers le monde. Lire plus
Objectif : Permettre aux femmes membres des coordinations d’organisations paysannes et des milieux ruraux de 5 pays d’Afrique de l’Ouest, de connaitre leurs droits, de les revendiquer afin d’en jouir au même titre que les hommes dans leur vie familiale, communautaire et professionnelle, et de les faire appliquer au profit des femmes de leurs milieux respectifs.
Résultats
250 agricultrices connaissent les droits des femmes et sont en mesure de travailler à leur diffusion et à leur application au sein des familles, des communautés et des activités économiques des femmes
Cinq (5) études nationales sur l’accès des femmes à la terre, à la propriété et au contrôle foncier sont disponibles
131 comitéscommunautaires de lutte contre les violences faites aux femmes mis en place dans les cinq pays ont reçu 1 859 cas dont 1 447totalement résolus au 30 juin, soit un taux de réalisation de 77,83% avec une amélioration de 17,83% par rapport aux résultats attendus du projet.
Lors de l’extension du projet 492 cas de violence ont été reçus et les comités ont pu en régler 403 avec succès et ont renvoyé la plupart des cas non réglés à la police ou à d’autres mécanismes étatiques. Cela montre un taux de réalisation de 82%.
Au moins 85 % des cas de violence et de conflits familiaux reçus, en particulier ceux relatifs à l’héritage, sont réglés dans les limites du respect des droits des femmes
5.465 séances de sensibilisation ont été menées et ont touché 218.040 personnes au cours de la période de mise en œuvre du projet. (79.973 hommes et 138.067 femmes.)
154 émissions de radio dans les communautés
676parcelles de terre sont attribuées par les autorités locales aux agricultrices en pleine propriété et 270 des terres dans des conditions sûres et sécurisées aux fins de l’agriculture collective ou individuelle. Dans certains cas, il s’agit d’un enregistrement conformément à la loi foncière.
34,48% de femmes ont accédé à des instances de prise de décision dans leur communauté contre 10 % avant 2009
Des changements de mentalité et abrogation de certaines dans les pratiques coutumières néfastes à l’égard des femmes telles que les rites de veuvages se sont opérés dans les communautés.
L’acceptation massive de la célébration du mariage d’enregistrement dans certains villages ;