Women in Law and Development in Africa (Femmes, Droit et Développement en Afrique) est un vaste réseau panafricain d’organisations non gouvernementales de droits des femmes Lire la suite...
Historique
Les origines du Women in Law and Development in Africa/Femmes, Droit et Développement en Afrique remontent au Forum des ONG à Naïrobi au Kenya en 1985 pour marquer la fin de la décennie des Nations Unies pour les femmes. Lire la suite...
L’adhésion au WILDAF est flexible et ouverte : aux personnes physiques de toute profession impliquées ou s’intéressant à la promotion des droits de la femme ; aux organisations non gouvernementales et institutions oeuvrant dans les domaines Lire la suite...
Le Conseil d’Administration sont composés de 07 (sept) membres au total ; toutefois, l’Assemblée Générale a le pouvoir d’augmenter le nombre.Lire la suite
Des formations de qualité organisées pour former les acteurs du domaine sur des sujets clés et leur permettre de disposer des derniers outils pour une meilleure gouvernance.Lire plus
Lobbing & Plaidoyer
Le WiLDAF/FeDDAF en Afrique de l’Ouest comme au niveau régional maintient une présence institutionnelle aux sessions des principales institutions sous régionales. Lire plus
Campagne
Nous menons des campagnes sur tous les territoires avec des thématiques diverses pour accompagner et sensibiliser la population. Lire plus
Réseautage & communication
Le WiLDAF/FeDDAF-AO travaille en réseau sous diverses formes : Echange d’informations sur une base régulière avec les membres du réseau sur les événements en Afrique et à travers le monde. Lire plus
Lutter contre les mariages précoces par l’autonomisation des filles en Afrique de l’Ouest de 2016 à 2019
Projet Recherche-Action :« Lutter contre les mariages précoces par l’autonomisation des filles en Afrique de l’Ouest »
Partenaire financier : Centre de Recherches pour le Développement International (CRDI)
Coût total : 1 096 500 $ CAD
Durée : 3ans (2016-2019)
Lieux : Mali, Niger, Togo.
Objectif : Contribuer à la baisse des mariages précoces à travers la génération de connaissances nouvelles et de solutions alternatives durables ainsi que la promotion de l’utilisation à grande échelle de ces connaissances nouvelles sur le mariage précoce en Afrique de l’Ouest.
Résultats
Une Étude de base dans les trois (3) pays : Mali, Niger, Togo.
260 filles et 100 garçons formés, en tant acteurs de changement dans la lutte contre les mariages précoces dans 3 pays
A la fin du projet 237 filles et 90 garçons qui sont restés motivés
Les trois (03) modules de formations (Tome I) élaborés au niveau national au Niger, Mali et Togo
Un (01) module de formation sous régional (Tome II),
Trois (03) rapports nationaux finalisés après les interventions
Un (1) rapport consolidé comparatif élaboré par le lead de l’équipe
Trois (03) Notes politiques ou Policy briefs nationaux, et un (01) Policy brief sous régional élaboré par le Chercheur Lead, rédigés à l’endroit des décideurs ciblés.
30.558 personnes, dont 8.182 jeunes filles, 8.325 femmes, 7.026 jeunes garçons et 7.025 touché approximativement par les actions de sensibilisation
Vingt-deux (22) cas de mariage précoceau Niger, quinze (15) cas au Maliet le sept (7) au Togoont été dénoncés et traités.
90 garçons formés ont changé leur mentalité face aux mariages précoces et ont se sont engagé aux côtés des jeunes filles contre la pratique.
Action des plaidoyers de jeunes au Niger, auprès des chefs des quartiers sur la nécessité d’agir pour contribuer à la baisse des mariages précoces, la violence faite aux femmes, la prostitution, la fistule
Au Mali, une élue a pris l’engagement d’insérer le thème du mariage précoce dans le plan d’action de sa commune
90 leaders traditionnels et religieux ont participé aux fora nationaux et ont pris des engagements pour lutter efficacement contre le phénomène.
Panels organisés à l’occasion des réunions de l’Union Africaine
L’influence en janvier 2019 de la politique régionale (CEDEAO) de l’enfant et de son plan d’action stratégique (2019-2030), et de la feuille de route régionale pour la prévention et la réponse au mariage des enfants.