Cet article a été automatiquement traduit de HIBAPRESS, la version arabe :

La représentation des femmes dans la politique africaine a connu des progrès modestes en 2024, la proportion de femmes parlementaires étant passée de 25 % à 26 %. Malgré cette légère augmentation, plusieurs développements notables ont été annoncés, notamment Nandi Ndayetwah devenant la première femme présidente élue de Namibie, faisant partie d’un groupe de femmes chefs d’État africaines, comme Samia Suluhu, présidente de Tanzanie.

Système de quotas : un pas vers l’égalité, mais…

Malgré les défis persistants auxquels sont confrontées les femmes dans la politique africaine, certains pays ont pu réaliser des progrès tangibles dans ce domaine grâce au système de quotas. Ces pays comprennent le Rwanda, l’Afrique du Sud, le Sénégal et la Tanzanie. Toutefois, les experts soulignent que parvenir à une égalité réelle nécessite de profonds changements culturels et des réformes politiques radicales.

Au Ghana, les femmes sont considérées comme l’un des principaux piliers dont dépend l’économie nationale, puisqu’elles contrôlent environ 85 % du marché du travail. Cette évolution est le résultat des améliorations économiques que le pays a connues depuis 2008, qui reflètent le rôle croissant des femmes dans le renforcement de l’économie nationale.

Le rôle des femmes dans la stimulation de l’économie : la « Market Queens Association » comme exemple

Ces progrès sont attribués au rôle efficace des femmes dans la stimulation des marchés et de l’économie. La Market Queens Association a contribué à l’autonomisation économique des femmes, et les femmes d’affaires ont commencé à voyager à l’étranger pour faire du commerce et élargir les marchés ghanéens. À mesure que l’économie se développe, les familles ont de plus en plus tendance à inscrire leurs filles sur le marché du travail afin qu’elles puissent subvenir aux besoins de leur famille et compter sur elles-mêmes, ce qui contribue directement au bien-être de la société.

2025 : Une nouvelle année pour que les femmes africaines puissent réaliser davantage de progrès en matière de droits humains

En cette nouvelle année grégorienne 2025, les femmes africaines espèrent faire de grands progrès en termes de droits sociaux, politiques et économiques. Cette année s’annonce riche en progrès historiques en matière d’égalité et d’autonomisation, avec de nombreux gouvernements et organisations s’efforçant de renforcer les lois et les politiques en faveur des femmes.

Ces aspirations coïncident avec une prise de conscience mondiale croissante du statut des femmes en Afrique en tant que force centrale du développement durable. En encourageant la participation politique, en élargissant les opportunités d’éducation et de travail et en contribuant au renforcement des droits des femmes au sein de la famille et de la société, le continent africain devrait connaître de nouveaux progrès dans la lutte des femmes pour leurs droits et leur liberté en 2025.

Source:https://fr.hibapress.com/news-158254.html