Telle est la question à laquelle les députés français ont dit oui. Ils ont adopté en première lecture une proposition de loi intégrant le non-consentement à la définition pénale du viol, une modification à la portée symbolique forte mais qui divise juristes et associations féministes. Faut-il inscrire la notion de non-consentement dans la définition pénale […]
